Malgré les dernières mesures appliquées, le nombre de cas de Covid-19 ne cesse d’augmenter. La vaccination reste un des piliers pour enrayer cette tendance et le gouvernement abat sa dernière carte avant de rendre le vaccin obligatoire pour tous.
Comment inciter les derniers récalcitrants au vaccin ? Le porte-monnaie, répond le gouvernement à l’entrée du conseil de sécurité qui doit se dérouler ce vendredi.
Plusieurs options sont à l’étude mais la solution qui tient la corde serait la création d’un crédit d’impôt spécial pour les personnes allant se faire vacciner. Cette solution aurait l’avantage de différer le coût de l’opération tout en maintenant l’application de la politique du « quoi qu’il en coûte ».
D’après nos sources, ce crédit d’impôt serait dégressif selon le type d’injection du parcours vaccinal. De 120€ pour une première injection jusqu’à 25€ pour les cinquième et sixième doses.
Mais quid des personnes non-imposables questionne l’opposition ? Le ministre des finances annonce également la distribution de bons d’achats aux citoyens qui ne sont pas soumis à l’impôt sur le revenu. Ces bons d’achat seront bien évidemment valables seulement pour des achats de première nécessité afin « d’éviter qu’ils ne servent à acheter de nouveaux téléviseurs 4K comme la prime de rentrée scolaire ».
Le syndicat des antivax monte au créneau et organise une manifestation ce samedi place de la Concorde afin de « dénoncer le chantage et la prise d’otage économique de cette décision ». En signe de protestation, des centaines de doses de vaccins seront incendiées sous l’œil d’une statue géante de Didier Raoult. Des contrôles de rayonnement bluetooth et 5G seront effectués à l’entrée de la manifestation pour filtrer les vaccinés.
D’autres solutions d’incitation ont été écartées par le gouvernement car jugées trop radicales et coûteuses. Les futurs vaccinés ne pourront donc pas bénéficier d’entrées gratuites au parc Astérix (transport et hébergement compris) comme le laissaient entendre certaines rumeurs.
Trop fort