L’épidémie de COVID-19 gagne la France, des mesures sont prises mais cela n’a pas empêché la Ville de Valence de compter sa première victime.
La victime, Thierry, un cinquantenaire originaire du département, passait une soirée paisible dans un restaurant de Valence quand il s’est effondré dans les toilettes de l’établissement.
Suite aux nombreux conseils diffusés par le gouvernement et par les médias cet homme aurait essayé d’éteindre la lumière des toilettes avec son pied afin d’éviter tout risque de contamination.
Toutes les informations et conseils alarmistes ont eu raison de cet homme qui a été hospitalisé pour une fracture du fémur suite à sa cabriole. Encore sous le choc, il a tout de même pu communiquer quelques informations depuis sa chambre d’hôpital.
Cela fait des jours que j’applique à la lettre les consignes des agences de santé. Finis les bises et les serrages de mains. J’éternue dans mon coude même si c’est dégueulasse. Je me tiens éloigné de toute personne suspecte. Je n’ai pas approché ma femme et mes enfants depuis presque deux semaines !
Thierry, première victime du coronavirus à Valence
Toutes ces précautions ont été vaines et Thierry se retrouve alité bien plus longtemps qu’en cas d’infection. Il regrette aujourd’hui son zèle dans sa démarche anti-contamination.
L’idée me paraissait bonne. Les interrupteurs et poignées de portes dans les lieux publiques sont un vrai nid à microbe. Je maîtrise normalement bien le mouvement pour éteindre la lumière avec mon pied mais là j’ai glissé…
Souhaitons à Thierry un prompt rétablissement et espérons qu’il reste la seule victime de cette épidémie à Valence.
Il s’est lavé les pieds au savon, au lieu des mains, et a oublié de les essuyer, voilà tout…
Ridicule cette article surtout le titre qui a juste pour but de faire vendre. Honte à vous de jouer sur la sphycose des gens
Bonjour,
Ce journal étant totalement gratuit, nous ne vendons rien.
Nous proposons juste une vague et ne sommes pas responsables si tant de personnes surfent dessus.
En aucun cas nous ne jouons sur la sphycose des gens.
Bravo de réussir à garder votre sérieux face à l’accusation de « sphycose » ?
« En aucun cas nous ne jouons sur la sphycose des gens. »
La quoi ?
Bien sûr que si, vous surfez sur la psychose. Vous dites : « il s’est effondré dans les toilettes de l’établissement ». Il ne s’est pas effondré, il s’est vautré tout seul.
Par ailleurs, votre article laisse entendre qu’il se savait contaminé : « Je n’ai pas approché ma femme et mes enfants depuis presque deux semaines ! » : vous ne lui demandez pas pourquoi il se tient éloigné de sa femme et de ses enfants ? Peut-être se savait-il contaminé ? Mais rien n’explique ça dans votre article.
Dans un tel contexte, vous seriez avisé de faire un boulot un peu plus correct.
Mon pauvre, il n’en avait rien à f… de sa femme et sas enfants, la preuve, il passait une soirée tranquille dans un restaurant. C’est lui le sphycotique avec toutes ses précautions. Il avait picolé, il a voulu faire son kakou et il s’est vautré et encore heureux que son fémur ne soit pas sorti de sa cuisse de Jupiler.
Sur quoi ??
??